vendredi 29 juin 2012

29/06/2012 - AMELIORER LA TRESORERIE - PARTIE 3

Améliorer la trésorerie en réduisant les stocks


Les stocks constituent une partie considérable du besoin en fonds de roulement. Il faut donc apprendre à les gérer au plus juste, mais sans risquer la rupture.

Quels stocks ?
  • marchandises
  • matières premières
  • consommables pour la fabrication
  • en-cours de fabrication
  • production stockée
  • emballages
  • accessoires et fournitures de bureau
  • fioul et carburant
  • pièces détachées

La fin du modèle de Wilson :

Ce modèle est basé sur des hypothèses de plus en plus difficile à imaginer : demande annuelle connue et certaine, consommation régulière et les quantités commandées sont constantes.

Q = sqrt [ (2Ct * k) / Cs ]


En partant de ces hypothèses, Wilson cherche à minimiser le total coût de possession du stock + coût d'acquisition.

Les incertitudes sur la demande et la consommation rendent ce modèle obsolète, de plus l'informatisation de la gestion de stock tend à rendre le coût d'acquisition plus faible. Enfin, le coût de possession est pour une large part, un coût de stockage et il est loin d'être variable : ce n'est pas parce que votre entrepôt est à moitié vide qu'il vous coûte moins cher !

Pour  consulter le détail de la formule : http://fr.wikipedia.org/wiki/Formule_de_Wilson


La production à flux tendu et le mythe du stock zéro :

Le Juste-à-temps est une méthode d'organisation industrielle dans laquelle on cherche à diminuer les stocks et en-cours. Le flux tendu correspond à une production tirée par la demande du client. On fabrique le produit commandé par le client, alors qu'avant on vendait ce que l'on avait fabriqué. Cette méthode demande une forte intégration d'un ensemble d'entreprises : fabricants, transporteurs, sous-traitants, fournisseurs.

  • Le stock zéro est un mythe, car il persiste une multitude de petits stocks tampons dans les ateliers.
  • Les camions des transporteurs sont désormais considérés comme des plateformes de stockage sur roues.
  • Le fabricant final ou le distributeur qui désire tendre vers un stock zéro, ne veut pas prendre un risque de rupture... et impose à son fournisseur une disponibilité des produits. De fait, c'est ce dernier qui constitue un stock.

  
Analyser les stocks, les consommations et l'approvisionnement :

  • Dans une entreprise de production, c'est lors de la conception du produit que l'on construit une part importante de la réduction de stock. Plus les composants d'une gamme sont standardisés, plus on réduit le stock.
  • Pour gérer efficacement un stock, il faut connaître les caractéristiques de consommation de chaque article. La méthode ABC permet de classer ces articles en fonction de leur valeur et de leur consommation. Ainsi on fixe des priorités et des règles de gestion.
  • Il faut également faire régulièrement du ménage dans les stocks car les produits périmés perturbent la gestion de ces stocks et le magasinage.
  • La grande faiblesse du modèle de Wilson est la régularité de la consommation. Il ne tient pas compte du cycle de vie de l'article ni de la saisonnalité de la consommation. Ici, l'analyse des consommations permet de pondérer les résultats initiaux de la méthode ABC.
  • Les conditions de vente de chaque fournisseurs doivent être parfaitement connues, de même que les délais de livraison. Les prix sont-ils dégressifs, déterminés pour chaque commande, ou sont-ils négociables sur une période plus longue ? Quel est le délai de livraison, transport compris ?
  • L'entreprise doit limiter le nombre de fournisseurs, privilégier les fournisseurs fiables et établir des relations de partenariats.


OuestGEST assiste les dirigeants et leurs équipes pour analyser les stocks, fixer des priorités et mettre en place des règles de gestion.

Une bonne gestion des stocks contribue à améliorer la trésorerie et à réduire les coûts.


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OuestGEST est membre de la Chambre Professionnelle du Conseil en Bretagne Breizh-Conseil et  de l'Association Française des Crédits Managers AFDCC.

jeudi 21 juin 2012

22/06/2012 - AMELIORER LA TRESORERIE - PARTIE 2

Améliorer la trésorerie en finançant différemment vos investissements


L'autofinancement et le prêt bancaire court-moyen terme :


On rencontre fréquemment les deux cas extrêmes :
  • le dirigeant veut emprunter la totalité de son investissement (l'entreprise n'a aucun apport),
  • le dirigeant veut autofinancer intégralement l'investissement sans faire appel à l'emprunt.
Sachez que qu'il est plus facile d'emprunter pour financer un investissement que pour régler un problème de trésorerie !

Votre banquier sera plus enclin à financer votre projet si vous lui prouvez que vous y croyez en l'autofinançant en partie.

Pour améliorer la trésorerie de l'entreprise, il est cependant nécessaire de savoir limiter l'autofinancement des investissements. Emprunter 70 % des fonds nécessaires pour l'investissement et limiter l'autofinancement à environ 30 % permet à l'entreprise de démontrer le sérieux de son engagement, mais sans compromettre l'équilibre de sa trésorerie. Pour que l'investissement ne se transforme pas en cauchemar GARDER DU CASH. 


Les actionnaires :

L'entreprise peut également faire appel à ses actionnaires pour une augmentation de capital ou un apport en compte courant. L'apport en compte courant est davantage une solution à un problème ponctuel car les fonds mis à la disposition de l'entreprise peuvent être facilement retirés.


Les pouvoirs publics :


D'autre part il existe également certaines possibilités d'augmenter les fonds propres de l'entreprise grâce à la Caisse des dépôts et consignations. Pour plus d'informations : http://www.caissedesdepots.fr

Par exemple, le fonds national pour la société numérique :  investissement dans les PME innovantes du secteur du numérique (pdf).

De son côté, OSEO  propose certaines aides ou financements : avances remboursables, aides à l'exportation, prêts bonifiés, aides à l'investissement immobilier, matériel ou croissance externe. Toutes ces aides accessibles aux PME évoluent régulièrement. Pour plus d'informations : www.oseo.fr

L'intervention d'OSEO est un gage de sérieux et aide l'entreprise à obtenir un prêt bancaire traditionnel complémentaire.

Si votre projet d'investissement ou de développement concerne d'export, consultez le site de COFACE : http://www.coface.fr il existe plusieurs types d'aides que la Coface gère pour le compte de l'état : prospection, préfinancement, caution, change, assurance-crédit, assurance-investissement.

Les fonds européens, l'état, les régions (et les départements !) subventionnent parfois les investissements, mais ces aides disparaissent. De plus, chaque région ou département détermine ses priorités. Ainsi une aide accessible dans les Pays de la Loire peut ne pas exister en Bretagne ou Basse Normandie... et vice-versa.

Il est important de bien comprendre que les aides sont accordées aux entreprises en bonne santé financière !

Pour plus d'informations :


Fonds européens : http://www.fse.gouv.fr
Ministère de l'économie, des finances et du commerce extérieur : http://www.economie.gouv.fr/
Ministère de l'industrie : http://www.industrie.gouv.fr/



Quelles sont les autres modes de financement les plus courant pour un investissement ?


Le crédit-bail mobilier : il s'agit d'un crédit, régi par le code monétaire et financier (articles L. 313-7 et suivants) et permettant l'acquisition d'un bien en échange de redevances et avec option d'un droit de propriété à l'échéance. L'entreprise choisit un matériel, que l'organisme de financement achète au fournisseur pour le louer ensuite à l'entreprise cliente. (à la fin du contrat l'entreprise est propriétaire du bien). Cet organisme n'est pas nécessairement celui que vous propose le vendeur. Votre banque a certainement une filiale spécialisée.


La location longue durée : la location longue durée se différencie du crédit-bail dans le sens où il s'agit d'une location simple sans possibilité pour le locataire de devenir propriétaire à l'issue du contrat. Généralement ce type de contrat est assorti d'un ensemble de services complémentaires : entretien, réparation, assurance, garantie de continuité de service... Ces formules sont souvent utilisées pour l'acquisition de véhicules professionnels... mais également de matériels de bureau ou informatique (à éviter). Le principe à retenir est qu'à l'issue du contrat, l'entreprise devra en signer un nouveau ou continuer de payer pour conserver l'usage du matériel ! Donc, s'il n'y a pas un réel service apporté par le loueur, choisissez un crédit-bail.


Le lease-back : opération dans laquelle l'entreprise déjà propriétaire d'un bien, le vend à un organisme de financement qui le lui cède ensuite dans un contrat de crédit-bail.

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samedi 16 juin 2012

16/06/2012 - AMELIORER LA TRESORERIE - PARTIE 1

6 solutions pour améliorer la trésorerie en encaissant plus rapidement vos créances clients


Sécuriser vos relations clients

En France, une entreprise sur 4 disparaît à cause de la défaillance d'un ou plusieurs clients, il est donc important de sécuriser ces relations clients. Les factures impayées présentent un risque que l'entreprise doit maîtriser. La solution la plus simple est de ne travailler qu'avec des clients solvables et de conclure un contrat  de garantie contre les impayés, auprès d'un spécialiste de l'assurance-crédit. Cependant, si vous ne travaillez qu'avec des clients garantis vous vous privez d'une part non négligeable du chiffre d'affaires. Certains "petits clients" ne bénéficient d'aucune couverture par les sociétés d'assurance-crédit. Doit-on les rejeter pour autant ?
La sécurisation des relations clients passe par la définition et la mise en place d'une véritable politique du risque-client. OuestGEST assiste les dirigeants de PME pour mettre en place une telle politique.

Demander un acompte

Dans certaines activités, il est habituel de demander un ou plusieurs acomptes. Lorsque de la prestation est effectuée sur une longue période, il est indispensable de prévoir le paiement d'acomptes échelonnés.
De même, lorsque vous travaillez avec un nouveau client ou un client non-garanti vos conditions générales de vente doivent impérativement prévoir un paiement à la commande ou le versement d'un acompte substantiel.

Réduire les délais accordés

La loi LME accorde un délai maximum de 45 jours fin de mois de facturation ou de 60 jours nets, mais si les conditions générales de vente ne mentionnent rien, le délai est de 30 jours nets. Des accords dérogatoires s'appliquent à certaines activités pour allonger ces délais, sous certaines conditions. Il ne s'agit que d'une possibilité offerte aux fournisseurs et pas d'une obligation. Dans d'autres cas, tel le transport ou la vente de produits frais, la loi impose d'autres délais.
Le fournisseur peut également prévoir d'accorder un escompte pour paiement anticipé !


Pratiquer l'escompte des effets de commerce

L'escompte des effets est l'une des plus anciennes méthodes de financement offertes aux entreprises, par les banques. Cette faculté est réservée aux factures payables par effet de commerce : traite, LCR, billet à ordre, BOR De plus, la banque peut exclure certains de vos clients ne présentant pas de bonnes garanties, ou ne financer que les effets acceptés. Cette méthode présente l'avantage de la simplicité et l'entreprise peut choisir de ne l'utiliser que lors de périodes de tension sur la trésorerie.
(en cas d'effet impayé, la banque récupère auprès de son client le montant impayé)

Céder les factures à la banque avec la loi Dailly

La loi Dailly date du 2 janvier 1981. Elle permet à l'entreprise de céder certaines de ses factures à sa banque, à l'aide d'un simple bordereau, pour obtenir un financement anticipé. L'avantage par rapport à l'escompte, c'est que la cession ne se limite pas aux factures payables par effet de commerce.
C'est probablement la méthode de financement la plus souple.

Utiliser l'affacturage

L'affacturage ne présente pas la même souplesse que l'escompte ou la cession dailly. Il fait l'objet d'un contrat entre l'entreprise et l'établissement financier. Comme dans le cas de la loi dailly, les factures sont cédées à l'organisme financier. Cependant, dans le cadre d'un contrat d'affacturage les factures sont cédées rapidement après l'émission et pas lors de la demande de financement. C'est une méthode de financement à géométrie variable, qui peut cumuler une assurance-crédit, un financement, une externalisation du recouvrement.
Dans la majorité des cas, la mention de la subrogation de paiement est inscrite sur la facture, mais il existe aussi des contrats d'affacturage confidentiel.

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Le choix entre ces différentes solutions doit être effectué en fonction des paramètres propres à chaque entreprise. A priori, il n'y a pas de bonne ou de mauvaise solution, et le dirigeant peut choisir d'en utiliser plusieurs simultanément. OuestGEST, conseil en gestion d'entreprises, assiste les dirigeants de PME dans ces choix.

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jeudi 7 juin 2012

07/06/2012 - TABLEAU DE BORD DE GESTION POUR LA PME



L'outil d'information et de pilotage de l'entreprise : une des clés de l'amélioration de la performance.


Dans les grandes entreprises, la distance entre le management et les opérationnels, et l'importance des volumes d'information, font que les tableaux de bord de gestion ont depuis longtemps été utilisés par les responsables pour contrôler leur activité.


Désormais, les PME disposent également de beaucoup d'informations... mais il existe toujours des trous dans le système d'information. Le principal écueil, pour réussir la mise en place d'un tableau de bord de gestion, réside dans le choix des indicateurs de gestion et la prise en considération des contraintes matérielles et humaines des PME.

Attention : ne jamais confondre le tableau de bord de gestion, avec une simple remise en forme des éléments comptables ! 

Évidemment les informations financières ont une place importante dans un tableau de bord de gestion, mais ces informations constituent des indicateurs retardés qui ne permettent pas d'anticiper des décisions.

Un tableau de bord efficace doit être aligné sur la stratégie de l'entreprise et présenter :
  • des indicateurs retardés et des indicateurs avancés.
  • de indicateurs quantitatifs et qualitatifs.
  • des représentations graphiques et données chiffrées comparées.
Au-delà de sa conception, l'utilité du tableau de bord de gestion repose sur la régularité de sa mise à jour. Le dirigeant s'appuie donc sur les données enregistrées dans le système d'information de l'entreprise, or le système d'information ne se résume pas au système informatique. De plus, ce système informatique ne forme pas toujours un ensemble homogène : bases de données de l'ERP ou du CRM, bases de données des autres logiciels, classeurs Excel,  bases de données maison sur Access, fichiers Word...     + les infos papiers.

Plusieurs méthodes de construction du tableau de bord coexistent :
  • les modèles de systèmes de tableaux de bord à la française.
  • le modèle français OVAR (années 80) de Daniel Michel, Michel Fiol et Hugues Jordan.
  • le célèbre balanced scorecard de Kaplan et Norton (années 90).
La force du balanced scorecard réside dans sa présentation en tant que modèle équilibré, complet et universel. Il présente l'énorme avantage de définir 4 axes : perspective financière, perspective client, processus internes, apprentissage organisationnel. L'autre avantage du BSC, c'est l'alignement stratégique. Le BSC est un tableau de bord construit selon une démarche TOP -> DOWN.

Le modèle OVAR (Objectifs, Variables d'Action, Responsabilités) repose sur une démarche plus collective. C'est un système de tableaux de bord permettant de clarifier la stratégie, au niveau opérationnel.

Les entreprises adoptent souvent une méthode mixte BSC - OVAR, c'est également la démarche proposée par OuestGEST. D'autre part l'information a un coût. Dans une PME en particulier, il faut alors tenir compte du rapport coût-utilité de l'information. Quel degré de précision ? Quelle fréquence de mise à jour ?

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Vous dirigez une TPE ou une PME et vous désirez mettre en place un tableau de bord de gestion pour améliorer la performance de votre entreprise. Faites appel à OuestGEST, pour vous assister dans cette démarche.

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samedi 2 juin 2012

02/06/2012 - GUIDE DES MEDIAS SOCIAUX

WELLCOM (http://www.wellcom.fr/) est une agence de conseil en communication, qui a édité un guide très complet sur les médias sociaux. Ce guide est disponible sur slideshare et sur le site de l'agence (en pdf).



Lecture sur slideshare : www.slideshare.net/wellconnect/guide-social-media-2012

Téléchargement sur le site de Wellcom :  http://www.wellcom.fr/guidesocialmedia/guide2012/guide-medias-sociaux.pdf


Table des matières
Chapitre 1 - Comprendre les médias sociaux
> Les médias sociaux, qu’est-ce que c’est ?
> Quelques repères
> Comment expliquer un tel engouement pour les médias sociaux ?
> Quelles sont les tendances d’usages des médias sociaux en France ?
> Pourquoi s’intéresser aux médias sociaux ?
> Quels sont les différents types de médias sociaux ?
> Quelle serait la clé de la réussite pour s’engager sur les médias sociaux ?
> Quelle approche par rapport aux méthodes de communication traditionnelles ?

Chapitre 2 - Planifier une campagne pour les médias sociaux
> êtes-vous prêt pour les médias sociaux ?
> Comment savoir si les médias sociaux conviennent à sa marque ?
> Que faire ensuite, par où commencer ?
> Comment savoir ce que l’on dit de sa marque ?
> Comment identifier les personnes à cibler ?
> Maintenant que je sais ce que l’on dit de ma marque, que faire ensuite ?
> Que faire des retours client positifs ou négatifs ?
> Certains médias sociaux sont-ils plus influents que d’autres ?
> Qui doit parler au nom de mon entreprise ?
> Quelle organisation adopter ?
> Que doit contenir une charte interne ou politique de médias sociaux ?

Chapitre 3 - Rédiger pour les médias sociaux
> Comment rédiger pour les médias sociaux ?
> Qu’est-ce qu’un contenu de qualité pour les médias sociaux ?
> Comment écrire un communiqué pour les médias sociaux ?
> Comment distribuer mon information pour les médias sociaux ?
> Comment créer un espace d’information pour les médias sociaux ?
> Comment créer du contenu de médias sociaux optimisé pour les moteurs de recherche ?
> Comment optimiser un communiqué de presse pour les moteurs de recherche ?

Chapitre 4 - Les blogs
> Qu’est-ce qu’un blog ?
> Qui blogue ?
> Ouvrir un blog d’entreprise ?
> Comment mettre en place un blog ?
> Comment rédiger pour les blogs ?
> Comment optimiser mon blog pour développer mon entreprise ?
> Comment favoriser l’adhésion des internautes à mon blog ?
> Pourquoi la veille des blogs est-elle primordiale ?
> Comment identifier les blogs dignes d’intérêt pour mon entreprise ?
> Existe-t-il un moyen d’identifier l’audience de mon blog ?
> Exemples de blogs professionnels réussis
> Quelques blogs remarquables

Chapitre 5 - Twitter
> À propos de Twitter
> À qui s’adresse Twitter ?
> Twitter est-il adapté à ma marque ?
> Quels sont les principaux éléments d’une approche de communication Twitter réussie ?
> Comment rejoindre Twitter ?
> Comment tweeter ?
> Comment répondre aux tweets ?
> Que signifie RT sur un message ?
> Comment augmenter le nombre de mes abonnés sur Twitter ?
> Suivre des internautes sur Twitter, comment et pourquoi ?
> Que signifie le symbole # sur Twitter ?
> Quels sont les avantages des Hashtags et comment bien les utiliser ?
> Comment surveiller ce qu’il se dit sur Twitter ?
> Comment intégrer Twitter aux outils que j’utilise déjà ?
> Des exemples de campagnes Twitter réussies

Chapitre 6 - Les réseaux sociaux
> Qu’est-ce qu’un réseau social ?
> Quel est l’intérêt des réseaux sociaux pour l’entreprise ou la marque ?
> Quels sont les principaux réseaux sociaux ?
> Comment inscrire mon entreprise sur Facebook ?
> Comment attirer des fans sur Facebook ?
> Comment inscrire mon entreprise sur Google+ ?
> Quels sont les avantages de LinkedIn et de Viadeo pour mon entreprise ?

Chapitre 7 - Partage de contenus
> Qu’est-ce que le partage de contenus ?
> Quelles sont les principales plate-formes de contenus ?
> Comment intégrer ces plate-formes de contenus ?

Chapitre 8 - Favoris sociaux & curation de contenu
> Qu’est-ce qu’un favori social et comment en créer ?
> Quels sont les principaux sites de favoris sociaux ?
> Créer un favori social ?
> La curation de contenu et les outils de la curation
> Pinterest : le premier phénomène de 2012

Chapitre 9 - Bien gérer votre présence sur les réseaux sociaux
> Facebook
> Google+
> Twitter
> Tweetdeck
> Viadeo
> LinkedIn
> Synchroniser vos comptes
> Paramétrer votre mobile pour les réseaux sociaux
> Quelques outils sociaux incontournables
> Quelques sites et sources utiles pour communiquer ou retweeter régulièrement
> Par secteurs d’activités

Chapitre 10 - Personal Branding> Comment gérer et faire vivre sa marque personnelle dans la vie réelle et sur le Web ?
> Les bénéfices du Personal Branding ?
> Personal Branding et identité numérique
> Techniques et méthodes
> Les outils de l’identité digitale
> Références

Chapitre 11 - Mesure et évaluation
> Comment mesurer le ROI de mon engagement dans les médias sociaux ?
> Du ROI ou du ROE ?
> Quels sont les objectifs à se fixer ?
> Quel genre d’indicateurs choisir pour mesurer mes avancées ?
> Quelques outils de veille et de suivi pour rendre compte de vos actions
> à quel moment mesurer mes avancées ?

Glossaire
Quelques ressources
À propos


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