lundi 9 novembre 2015

LES RETARDS DE PAIEMENT, PRINCIPAL FREIN A LA CROISSANCE DE L'ECONOMIE FRANCAISE, NE SONT PAS UNE FATALITE

LES RETARDS DE PAIEMENT, PRINCIPAL FREIN A LA CROISSANCE DE L’ÉCONOMIE FRANÇAISE, NE SONT PAS UNE FATALITÉ


Sur le front des retards de paiement

Rarement aussi peu n’a été fait pour combattre un fléau pourtant responsable d’une défaillance d’entreprise sur quatre  et des difficultés financières de beaucoup d’autres.

Les dirigeants d’entreprises, qui sont les premiers à s’en plaindre, sont particulièrement timides dès lors qu’il s’agit de mettre en œuvre de véritables plans d’actions pour les réduire.

Deux des principales raisons sont le manque d’outils spécialisés et un défaut de la culture commerciale française qui persiste à laisser croire qu’être exigeant avec ses clients concernant le règlement des factures est anti-commercial.

L’activité du recouvrement de créances est trop souvent associée aux actions en justice, très minoritaires, et aux méthodes douteuses de certaines agences de recouvrement.

Les initiatives sont donc législatives : Loi de Modernisation de l’Economie sur les délais de paiement de 2008, loi de 2012 sur l’indemnité forfaitaire de frais de recouvrement, loi de 2013 sur les délais de paiement dans les marchés publics, loi Hamon projetant de confier la responsabilité aux commissaires aux comptes de dénoncer les mauvais payeurs… . Sans être nuls, les résultats de ces dispositions légales sont bien faibles au regard de l’enjeu.

Les retards de paiement sont toujours aussi importants et pèsent sur la trésorerie des entreprises. En 2015, deux entreprises sur trois paient leurs fournisseurs avec du retard, 9 grandes entreprises sur 10.

Pourquoi cette situation ? Parce que l’état et ses organismes de contrôle (DGCCRF) n’ont ni les moyens ni pour rôle de s’immiscer dans chaque relation professionnelle inter-entreprise.
  
La solution à cette situation est ailleurs et concerne les deux principaux protagonistes, le vendeur et l’acheteur : il est nécessaire d’organiser et de professionnaliser la  relation financière entre ces acteurs, et cela doit se faire en premier lieu à l’initiative du vendeur.

Votre entreprise subit des retards de paiement ? C’est à vous d’agir

La prévention du risque d’impayé et le recouvrement de créances ne sont pas des activités de seconde importance faites « quand on a le temps »  mais sont encadrés par un véritable processus de la relation financière avec ses clients.

Evaluation de la solvabilité des clients => sécurisation du risque => contractualisation => recouvrement amiable => gestion des litiges => recouvrement contentieux sont les principales étapes du processus calqué sur le cycle de vente.

Pour faire cela, les entreprises ont besoin d’outils dédiés. Or, la plupart et notamment les PME – PMI – TPE utilisent des tableurs qui ne permettent pas de professionnaliser ce processus et d’atteindre le niveau de performance attendu.

Utilisez un logiciel adapté

MY DSO MANAGER a été créé pour apporter aux entreprises une solution performante de gestion de la relation financière client. Le logiciel web inclut des fonctionnalités telles que la relance interactive ou le module de gestion des litiges permettant d’optimiser le recouvrement des créances de son entreprise.

Il contribue à améliorer le DSO (nombre de jours de chiffre d’affaires facturé non encore payé), principale composante du Besoin en Fonds de Roulement. Il permet d’accroître sa crédibilité auprès de ses clients grâce à une gestion fluide et rigoureuse des créances et des litiges.







Ce type d’outil auparavant réservé aux grandes entreprises et ETI qui avaient les moyens humains et financiers de les mettre en œuvre est désormais accessible à toutes les entreprises jusqu’à la TPE grâce à une tarification adaptée.

Le logiciel en ligne est facile d’utilisation : quelques minutes suffisent pour importer ses données et effectuer ses premières relances.



Contact

Christian Hardy - OuestGEST - Partenaire de MY DSO MANAGER
Tél : 06 26 46 63 94     E-mail : chardy@ouestgest.com     Formulaire de contact : lien

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